Depuis le début mercredi dernier des travaux de la commission de l’ONU sur les allégations d’abus sexuels commis par des soldats marocains, à Bouaké, aucune victime présumée n’est venue livrer son témoignage, indique l’agence de presse marocaine MAP, qui accuse une ONG d’avoir manipulé les plaignants. Des habitants de Bouaké auraient même adressé une pétition au commandant de l’ONUCI pour exprimer leur solidarité avec les soldats marocains, selon l’agence marocaine.