Le journaliste algérien Hafnaoui Ghoul, incarcéré depuis le 24 mai dernier et en grève de la faim depuis sa nouvelle condamnation, le 9 août, à 3 mois de prison, est « dans un état psychologique et physique très critique », selon son père, qui demande à ce qu’il soit libéré. Lors de sa première condamnation, Hafnaoui Ghoul, qui travaille pour le journal arabophone El Yom, avait écopé de trois mois ferme pour « diffamation », rappelle El Watan.