Liberté estime que l’accord signé entre le gouvernement et les âarchs (tribus kabyles) sur la mise en place de la plate-forme d’El-Kseur (regroupant les revendications des Kabyles) laisse planer des zones d’ombre. « Aucune précision n’est mentionnée sur la composante, les prérogatives et la durée de l’existence du mécanisme », relève notamment le quotidien.