Amnesty international a dénonce l’usage excessif de la force de la part des militaires de la garde présidentielle burkinabè à l’encontre des manifestants exigeant le départ de l’ex-chef d’Etat Blaise Campaoré. L’organisation non-gouvernementale américaine a publié un rapport sur le sujet ce jeudi intitulé: « Qu’est-ce qu’ils avaient dans la tête pour tirer sur les gens ? ».