Le bombardement du camp des militaires français à Bouaké, le 6 novembre 2004, est dû à l’entourage du Président Gbagbo, a affirmé devant le juge l’ancien commandant de la force Licorne, le général Henri Poncet. Ce dernier a été mis en examen, mardi, pour « complicité d’homicide volontaire » dans l’affaire Firmin Mahé, dont le meurtre a été étouffé par des soldats français en mai dernier, rapporte Libération.