Du 10 au 16 avril, Bamako a été la capitale du cinéma africain, particulièrement marocain. Cette année, outre les films maliens comme Nyamanto, Tafé fanga, Faraw ou Tiéfing, les cinéastes africains se sont penchés sur les goulots d’étranglement du 7ème art, rapporte Le Reflet.