La police a fait état ce lundi de violences impliquant des membres de la secte interdite Mungiki. Ils protestaient contre le meurtre du l’épouse du chef de cette organisation. On dénombre au moins 14 morts, dont neuf des Mungiki. La secte est considérée comme la principale incarnation du crime organisé au Kenya, rapporte France 2. Cependant, ces violences sont sans rapport avec le conflit politique qui a secoué le pays ces derniers mois.