Au Kenya, le paludisme tue bien moins qu’il y a cinq ans. « Le taux de mortalité des enfants a diminué de 44% dans les districts à haut risque, le nombre de cas de patients malades du paludisme a diminué et le nombre de décès a chuté », annonce le ministère de la Santé dans un communiqué. Cette évolution est notamment due à un meilleur accès aux moustiquaires imprégnées, précise TV5.