Au moins 11 personnes ont été tuées, dans la nuit de jeudi à vendredi, dans des attaques dans la capitale et ses alentours. Elles interviennent au lendemain de l’arrestation et de l’incarcération de l’ex-leader de la secte Mungiki, connue pour ses activités criminelles et interdite depuis 2002. Néanmoins la police, selon la BBC, n’a pas confirmé si les membres de la secte étaient liés à ces meurtres.