A trois mois de la présidentielle d’avril, l’armée algérienne abandonne sa «neutralité». « Toute personnalité investie des prérogatives de président de la République qui compte toucher à l’ordre républicain, remettre en cause le pluralisme politique, tenter un réaménagement constitutionnel à la mesure de sa personne …] trouvera devant elle l’armée », a affirmé Mohammed Lamari, le puissant chef d’état-major, rapporte [Libération.