Selon un rapport de l’organisation Human Rights Watch rendu public mercredi, les Etats-Unis, la Suède et plusieurs pays asiatiques et arabes ont eu recours, depuis le milieu des années 90, à des extraditions clandestines de prisonniers vers l’Egypte afin qu’ils y soient interrogés et torturés. Ces hommes étaient, pour la plupart, suspectés d’appartenir à des groupes islamistes armés.