
L’Algérie a décidé de garder le contrôle sur ses hydrocarbures en prenant au moins 51% des contrats de recherche, d’exploitation et de raffinage avec des compagnies étrangères, annonce Jeune Afrique.com. La loi de mars 2005 amendée dimanche se voulait à l’origine plus libérale. Elle impose également une taxe allant jusqu’à 50% sur les profits exceptionnels de ses partenaires au delà de 30 dollars le baril.