Suite au pillage hier des locaux de trois de ses organismes dans deux villes somaliennes par les islamistes radicaux insurgés, l’ONU a cessé ses activités humanitaires dans la région de Baïdoa, à 250 km de la capitale, malgré une situation critique. Tout le matériel de communication y a été volé et les agents de sécurité ont dû quitter les locaux. L’ONU reste à Wajid où des attaques ont également eu lieu mais où la sécurité minimum est encore assurée, indique France 24.