« Eu égard à la gravité des faits, la mise en liberté provisoire des inculpés risque de nuire à la manifestation de la vérité et à l’ordre public », a estimé, mercredi, le juge chargé de l’enquête sur l’affaire de l’Arche de Zoé, rapporte TV5. Il a rejeté les demandes de mise en liberté des six Français de cette association et de trois Tchadiens qui les avaient soutenus, et qui sont incarcérés à N’Djamena.