Le gouvernement malien a interdit la coupe d’arbres pendant six mois afin d’éviter qu’ils soient décimés pour faire du bois de chauffage et du charbon, rapporte L’Agence de presse des Nations Unies. Le ministère de l’Environement estime que le Mali perd chaque année 400 000 hectares de couverture forestière pour satisfaire la demande croissante de bois de construction et de combustion.