Dominique Sopo, le président de SOS Racisme, et trois cadres de l’association française ont été remis en liberté, à Paris, dans la nuit de mercredi à jeudi, rapporte Le Point. Ils ont été placés en garde à vue dans le cadre de l’affaire Julien Dray. Ce dernier va être entendu par la brigade financière qui enquête sur des abus de biens sociaux depuis six mois.