Le Président Laurent Gbagbo a assuré qu’il ne voulait pas en venir aux armes pour résoudre le différend qui oppose les loyalistes aux ex-rebelles, rapporte Fraternité Matin. En revanche, « il maintient sa décision de ne transmettre à l’Assemblée nationale la loi sur l’article 35 qu’après le démarrage effectif du désarmement », ce qui est l’une des bases du litige entre les deux camps.