Les auteurs des violences qui ont suivi le match de football perdu par le Mali face au Togo, le 27 mars dernier à Bamako, ont été rattrapés par la justice. Une soixantaine de prévenus ont été présentés à la barre dont quarante-cinq ont écopé de peines allant du sursis à cinq ans de prison ferme. Quinze relaxes ont également été prononcées. La justice malienne s’est voulue « exemplaire », rapporte RFI.