Mohamed El Baradeï vient d’être élu pour la 3e fois directeur de l’Agence internationale de l’énergie (AIEA), organisation intergouvernementale des Nations unies. Pour El Watan, il est « l’Egyptien qui dérange » : les Etats-Unis lui reprochent d’avoir nié l’existence d’armes de destruction massive en Irak, en 2003, devant le Conseil de sécurité de l’Onu, et un manque de fermeté à l’égard du programme nucléaire iranien.