Les réfugiés kenyans ont dû être séparés par tribu dans les camps où ils sont installés en Ouganda, ont expliqué les autorités de ce pays. Le but de cette mesure est d’éviter les tensions ethniques croissantes, précise The Monitor, qui rapporte deux tentatives ratées d’empoisonnement. Quelque 6 000 Kenyans ont fui en Ouganda pour échapper aux troubles qui ont suivi la présidentielle contestée du 27 décembre.