
Patrick Obath, directeur général de Kenya Shell, affirme que le Kenya n’a pas la capacité de passer à l’essence sans plomb avant la fin de l’année, conformément à la déclaration adoptée en 2001 à Dakar. Selon les experts de la santé, l’utilisation de l’essence au plomb réduit le quotient intellectuel des enfants de plusieurs points et peut-être à l’origine de plusieurs maladies mentales, indique la Pana.