Rachid Ramda, jugé depuis le 1er octobre par la cour d’assises spéciale de Paris pour complicité dans trois des attentats de 1995 dans la capitale, a retracé mardi son parcours d’Alger à Londres, via le Pakistan, en tentant de semer le doute, écrit Libération.fr. Le prisonier algérien n’a pas expliqué comment son empreinte digitale a atterri sur le bordereau de versement de 38 000 francs fait à Boualem Bensaïd, coordinateur des attentats de Paris.