Sous les présidences de Laurent-Désiré et Joseph Kabila, le PIB de la RDC est passé de 14 milliards USD en 1997 à 50 milliards USD en 2017


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Sous les présidences de Laurent-Désiré et Joseph Kabila, le PIB de la RDC est passé de 14 milliards USD en 1997 à 50 milliards USD en 2017

A juste titre, le président de la République, Joseph Kabila Kabange, a rappelé dans son discours du jeudi 19 juillet au Congrès sur l’état de la Nation la “forte” amélioration de la situation socio-économique du pays durant ses mandats et celui de son père. De 1997 à 2017, le PIB de la RDC est passé de 14 milliards USD à 50 milliards USD. Un bon spectaculaire pour le pays. 

Au cours de la décennie 90, nous étions plongés dans un véritable gouffre, en raison d’un marasme économique caractérisé par une dépréciation monétaire de plus de 90 %, un taux d’inflation à quatre chiffres qui, à un moment, a dépassé le seuil de 3.000 %, les déficits chroniques du compte général du trésor, et la chute vertigineuse des recettes publiques au point d’en arriver à des prévisions budgétaires insignifiantes de 300 millions USD en 2001”, a fait observer Joseph Kabila Kabange.

Grand bon en avant

De 3 milliards USD en 1960, le PIB du pays est passé à 14 milliards USD en 1997 avant de connaître un bon spectaculaire pour atteindre à ce jour 50 milliards USD. Mieux, la croissance économique durant la même période est passée de 1% en 1960, – 5% en 1997, à + 4,2 % cette année, après avoir frôlé les deux chiffres il y a seulement 4 ans, soit un taux très supérieur à la moyenne de celui de toute l’Afrique subsaharienne situé à 2,7%.

Dans la même veine, le chef de l’Etat a fait observer que le budget de l’État en ressources propres étaient de 25 millions USD en 1960, de 581 millions USD en 1997 avant de connaître, elles aussi, un bon pour se hisser à plus de 4,6 milliards USD aujourd’hui. Idem pour les réserves de changes internationales qui sont passées de 62 millions USD  en 1960, à 62,8 millions USD en 1997, avant d’atteindre 1,150 milliard USD en 2018.

Forte réduction du taux de chômage

L’inflation annuelle, quant à elle, est sous contrôle, tandis que le déficit budgétaire a lui été totalement résorbé, et ce, grâce au redressement spectaculaires des recettes de l’État et à l’amélioration substantielle des réserves de change.

Enfin, et c’est sans doute l’indicateur le plus important pour la population, le taux de chômage depuis 1997 a subi une forte réduction de  l’ordre de 15 %.

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