Le Président zimbabwéen a reconnu, vendredi lors de la clôture du congrès annuel de l’Union nationale africaine du Zimbabwe-Front patriotique (Zanu-PF, au pouvoir), que la réforme agraire posait des problèmes, rapporte TV5. « Aucune terre ne peut être attribuée sans que notre bureau ait dit oui. Nous faisons cela car nous avons vu (…) de nombreuses irrégularités, de nombreux cas de corruption et de favoritisme », a-t-il déclaré devant ses partisans.