Une commission technique mixte s’est tenue du 11 au 13 juillet à Brazzaville afin de de trouver une solution au financement de la frontière commune entre la République Démocratique du Congo et le Congo.
La concertation portait sur trois enjeux majeurs. En premier lieu, il s’agissait de mobiliser des ressources financières par les deux Etats dans le but de de faciliter les travaux et la démarcation de la frontière entre les deux pays.
Ensuite, les travaux visaient à évaluer le coût des réalisations à entreprendre et enfin il s’agissait d’adopter l’accord de coopération entre les deux pays et l’Institut Géographique de France International (IGF international).
Séraphin Ondélé, ministre de l’intérieur et de la décentralisation a cependant rappelé à juste tite que la date butoir était fixée à l’an 2022.
Construire une frontière commune aux deux états permettrait de faire taire les conflits qu’il y a pu avoir entre les deux pays voisins, conflits de voisinage liés à l’utilisation des terres et de l’eau.
La construction d’un avenir pacifié repose en effet sur un consensus clair sur la démarcation entre les deux pays.